Vacances bien méritées
Recharge des batteries en cours…


Bonjour lecteurice, heureux de te retrouver cette semaine pour un petit article. C’est l’occasion pour moi de te raconter où j’en suis en ce moment. Comme mon titre l’indique si bien, je suis en vacances depuis le début de la semaine, un repos attendu et bien mérité. Bon je te vois venir, tu me diras que je dis ça à chaque fois, c’est pas faux, et surtout pourquoi bien mérité, car c’est vrai, les vacances sont toujours bienvenues, pour tout le monde, ça je te l’accorde.

En effet, ce début d’année est très intensif pour moi, je jongle entre les derniers préparatifs du premier tome du Carnet d’Arly, la rédaction du deuxième, les préparatifs de mon déménagement ainsi que des obligations professionnels, car cette année nous célébrons un centenaire et cela demande de l’attention et nécessite pas mal d’organisation. C’est donc un peu sur les genoux, et heureux d’y arriver que j’ai débuté mes vacances.

Et quels charmants congés, puisque ceux-ci ont démarré par la célébration du carnaval de Bâle, rendez-vous annuel depuis plus de dix ans, des festivités qui me ressourcent, m’inspirent et me remplissent de fantaisie. Car non seulement l’effervescence de la foule ne m’effraie pas dans ce cadre-là, mais elle me repose. Cet émerveillement collectif palpable au moment où toutes les lumières de la ville s’éteignent et que les réjouissances commencent, c'est proprement magique, il n'y pas d'autre mot.

Que dire des costumes, des personnages, de ces archétypes centenaires qui se détachent, se déclinent et se réinventent au fil des années sans perdre de son essence, tu imagines comment cela enflamme mon imaginaire, n’est-ce pas ? C’est donc ressourcé par cet événement que je poursuis mes vacances, et me réjouit de revoir des amis venus de loin pour nous revoir. Un bonne pause que je me suis accordé, une trêve nécessaire pour mieux pouvoir continuer.

Qui dit vacances, dit ? Célaciel et son univers magique, bien sûr ! C’est naturellement que mon esprit, qui lui ne peut jamais s’arrêter, continue à naviguer, découvrir et façonner ce monde dans lequel le récit prendra racines. Et c’est un délice. Parfois, je me rends compte à quel point il m’est dès fois plus agréable et facile de créer un décor, d’imaginer un monde crédible que de débuter la narration, enfin même si j’adore ça aussi. Du coup j’en profite.

J’en ai profité pour créer une mappe du continent natal de notre héroïne et commencer à imaginer les cités, leurs histoires, l’évolution des peuples sur des millénaires pour ses êtres immortels. Cela m’enthousiasme beaucoup. Voilà, lecteurice, le temps que je finisse ma phrase et les jours auront passés si vite qu’il sera temps de reprendre, et autant j’aime la vacuité de ce temps de congé, que j’aime quand mon emploi du temps reprend.

Back to Top